Israël: Un cauchemar dénommé Nasrallah...
IRIB- Les dirigeants israéliens se sentent insultés quand ils voient
que leurs citoyens considèrent
Nasrallah plus sincère et plus compétent que leurs propres dirigeants.
Pour eux, Nasrallah est un mauvais rêve.
En juillet 2006, la page a tourné à jamais pour les occupants sionistes. A cette époque-là, les sionistes et leurs alliés ne pouvaient même pas imaginer qu’une armée qui avait vaincu les armées arabes en six jours, pourrait connaître la défaite face à un groupe miliciens dirigé par Seyed Hassan Nasrallah, défaite que serait une honte éternelle pour l’armée israélienne et sa l’égence d’invincibilité. Mais c’est un fait. En 2006, le Hezbollah libanais a réussi à résister à l’ennemi occupant. Syeyed Hassan Nasrallah est devenu en personne la fierté des peuples arabes dont les dirigeants passent leur temps plutôt dans les fêtes que dans les affaires de l’Etat. Un auteur israélien décrit Seyed Hassan Nasrallah comme le seul Arabe qui a vaincu Israël. Selon lui, « le retrait humiliant d’Israël du sud du Liban a fait de Seyed Hassan Nasrallah le mauvais rêve des hommes politiques et des commandants militaires israéliens. C’était lui qui a allumé la flamme de la résistance épique des Palestiniens dans les territoires, en déclenchant l’Intifada. C’était lui qui avait pesé sur les politiques de Damas pour imposer à la région une réalité qui va au-delà des considérations politiques au Liban ou en Syrie : permettre à la révolution iranienne se s’approcher des frontières d’Israël. Les dirigeants israéliens se sentent insultés quand ils voient que leurs citoyens considèrent Nasrallah plus sincère et plus compétent que leurs propres dirigeants. Pour eux, Nasrallah est un mauvais rêve. Quand il parle, il fait preuve d’un calme incroyable, et il fait dégager de ses propos une sincérité qui fait un véritable contraste avec le comportement des dirigeants israéliens qui ne transmettent qu’un sentiment de méfiance à leurs interlocuteurs.
Il montre pratiquement qu’il est prêt à aller jusqu’au bout de ce qu’il dit et de ce qu’il croit. La preuve, c’est qu’il n’a jamais accepté de négocier pour faire transférer les dépouilles de son fils tués en combat. Tout cela fait de lui un leader religieux de 46 ans qui est depuis quatorze ans le secrétaire général d’une organisation terroriste. Il est sans doute un ennemi désagréable pour les Israéliens, mais il est pourtant l’objet de respect et d’admiration. Nasrallah sait comment exploiter la peur qui ronge profondément les Israéliens. Dans son discours intitulé « La toile d’araignée », prononcé après le retrait de l’armée israélienne, il a insisté sur les peurs incessantes de la majorité des Israéliens en disant : « Ils sont des individus faibles qui aiment vivre mais qui sont incapable de regarder en face la réalité sauvage qui règne au Moyen-Orient, car ils ne sont pas prêts à la guerre et à se sacrifier. Ils se cachent derrière leur puissance militaire et technologique. » Les déclarations de leur président, de leur ministre de la guerre et de leurs généraux pendant les premiers jours de la guerre ont montré à quel point les dirigeants israéliens craignent que Nasrallah dévoile les réalités d’Israël. Il est peut-être difficile de savoir à quel point Nasrallah connaît les réalités de la mentalité des Israéliens. Mais il sait très bien comment mépriser les dirigeants israéliens. Dans une conférence de presse, tenue après l’opération de l’échange des prisonniers, Nasrallah a fait allusion à Olmert et Pères en les qualifiant de « deux personnes fraîchement mutés, et leur a conseillé de se servir des expériences de leurs prédécesseurs. Ehud Barak et Ariel Sharon ont toujours préféré ne pas entre en confrontation avec le Hezbollah libanais. Olmert et Pères savent peut-être que Nasrallah ne reflète pas seulement son opinion personnelle, mais aussi l’avis de beaucoup d’Israéliens. »
En juillet 2006, la page a tourné à jamais pour les occupants sionistes. A cette époque-là, les sionistes et leurs alliés ne pouvaient même pas imaginer qu’une armée qui avait vaincu les armées arabes en six jours, pourrait connaître la défaite face à un groupe miliciens dirigé par Seyed Hassan Nasrallah, défaite que serait une honte éternelle pour l’armée israélienne et sa l’égence d’invincibilité. Mais c’est un fait. En 2006, le Hezbollah libanais a réussi à résister à l’ennemi occupant. Syeyed Hassan Nasrallah est devenu en personne la fierté des peuples arabes dont les dirigeants passent leur temps plutôt dans les fêtes que dans les affaires de l’Etat. Un auteur israélien décrit Seyed Hassan Nasrallah comme le seul Arabe qui a vaincu Israël. Selon lui, « le retrait humiliant d’Israël du sud du Liban a fait de Seyed Hassan Nasrallah le mauvais rêve des hommes politiques et des commandants militaires israéliens. C’était lui qui a allumé la flamme de la résistance épique des Palestiniens dans les territoires, en déclenchant l’Intifada. C’était lui qui avait pesé sur les politiques de Damas pour imposer à la région une réalité qui va au-delà des considérations politiques au Liban ou en Syrie : permettre à la révolution iranienne se s’approcher des frontières d’Israël. Les dirigeants israéliens se sentent insultés quand ils voient que leurs citoyens considèrent Nasrallah plus sincère et plus compétent que leurs propres dirigeants. Pour eux, Nasrallah est un mauvais rêve. Quand il parle, il fait preuve d’un calme incroyable, et il fait dégager de ses propos une sincérité qui fait un véritable contraste avec le comportement des dirigeants israéliens qui ne transmettent qu’un sentiment de méfiance à leurs interlocuteurs.
Il montre pratiquement qu’il est prêt à aller jusqu’au bout de ce qu’il dit et de ce qu’il croit. La preuve, c’est qu’il n’a jamais accepté de négocier pour faire transférer les dépouilles de son fils tués en combat. Tout cela fait de lui un leader religieux de 46 ans qui est depuis quatorze ans le secrétaire général d’une organisation terroriste. Il est sans doute un ennemi désagréable pour les Israéliens, mais il est pourtant l’objet de respect et d’admiration. Nasrallah sait comment exploiter la peur qui ronge profondément les Israéliens. Dans son discours intitulé « La toile d’araignée », prononcé après le retrait de l’armée israélienne, il a insisté sur les peurs incessantes de la majorité des Israéliens en disant : « Ils sont des individus faibles qui aiment vivre mais qui sont incapable de regarder en face la réalité sauvage qui règne au Moyen-Orient, car ils ne sont pas prêts à la guerre et à se sacrifier. Ils se cachent derrière leur puissance militaire et technologique. » Les déclarations de leur président, de leur ministre de la guerre et de leurs généraux pendant les premiers jours de la guerre ont montré à quel point les dirigeants israéliens craignent que Nasrallah dévoile les réalités d’Israël. Il est peut-être difficile de savoir à quel point Nasrallah connaît les réalités de la mentalité des Israéliens. Mais il sait très bien comment mépriser les dirigeants israéliens. Dans une conférence de presse, tenue après l’opération de l’échange des prisonniers, Nasrallah a fait allusion à Olmert et Pères en les qualifiant de « deux personnes fraîchement mutés, et leur a conseillé de se servir des expériences de leurs prédécesseurs. Ehud Barak et Ariel Sharon ont toujours préféré ne pas entre en confrontation avec le Hezbollah libanais. Olmert et Pères savent peut-être que Nasrallah ne reflète pas seulement son opinion personnelle, mais aussi l’avis de beaucoup d’Israéliens. »
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