Some Recent significant BDS developments :
- Block the Boat 
mobilisations across North America and in Oakland, California in 
particular that have succeeded in blocking many ships from the Israeli 
company Zim Integrated Shipping Services from docking at ports.
- 
The student government at the University of California at Los Angeles 
recently became the sixth of nine undergraduate campuses in the 
University of California system within the last two years to pass a 
resolution calling for divestment from 
firms that profit from the Israeli occupation, just the latest in a long
 line of recent campus successes in North America as support for 
Palestine becomes a key issue for progressive student movements 
everywhere.
 - The government of Kuwait announced that it is to 
boycott 50 companies over their role in Israeli violations of 
international law following pressure from Kuwaiti campaigners and the 
BNC.
 -The Israeli air force was excluded from military exercises taking place in Italy following a high profile campaign.
 - More than 300 European organisations, including some of Europe’s 
largest trade unions, political parties and NGOs, have called on the EU 
to suspend the EU-Israel Association Agreement, the deal that allows 
Israel preferential access to EU markets and funding programs.
 - 
British security giant G4S has recently lost out on contracts with the 
Irish government and with the Durham, North Carolina municipality in the
 US following campaigns opposing its deep involvement in Israel’s prison
 system. G4S has sought to distance itself from Israel’s prison system 
in recent months, even suggesting it may pull out from the system in 
2017.
Pourchasser
 les «terroristes islamiques» et mener une guerre préventive dans le 
monde entier, pour «protéger la patrie étasunienne» sont des concepts 
utilisés, pour justifier un programme militaire.
L’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) est une création du renseignement étasunien. Le programme de «lutte contre le terrorisme» de Washington, en Irak et en Syrie, consiste à appuyer les terroristes.
L’incursion
 des brigades du groupe État islamique, (EI), en Irak, ayant débuté en 
juin 2014, faisait partie d’une opération militaire et du renseignement,
 soigneusement, planifiée et soutenue, secrètement, par les États-Unis, 
l’OTAN et Israël.
Le mandat de lutte contre le terrorisme est fictif. Les États-Unis sont le «commanditaire numéro un du terrorisme d’État».
L’État islamique est protégé par les États-Unis et leurs alliés. S’ils avaient voulu éliminer les brigades de l’État islamique, ils auraient pu bombarder, intensément, leurs convois de camionnettes Toyota, lorsqu’ils ont traversé le désert entre la Syrie et l’Irak, en juin. 
Le 
désert syro-arabe est un territoire ouvert (voir la carte ci-dessous). 
D’un point de vue militaire, cette opération aurait pu être effectuée 
efficacement, rapidement et de manière extrêmement précise avec des 
chasseurs à la fine pointe de la technologie (F15, F22 Raptor, CF-18).
Dans cet article, nous abordons 26 concepts
 qui réfutent le grand mensonge. Alors que les médias interprètent cette
 opération militaire à grande échelle contre la Syrie et l’Irak comme 
étant une entreprise humanitaire, elle a engendré d’innombrables morts 
civiles.
Cette 
opération n’aurait pas pu être entreprise sans l‘appui inflexible des 
médias occidentaux, lesquels ont maintenu que l’initiative d’Obama 
représentait une opération de contre-terrorisme.
LES ORIGINES HISTORIQUES D’AL-QAÏDA
1. Les États-Unis appuient Al-Qaïda et ses organisations affiliées depuis presque un demi-siècle, depuis le début de la guerre soviéto-afghane.
2. Des camps d’entraînement de la CIA ont été mis en place au Pakistan. Entre 1982 et 1992, la CIA a recruté quelque 35 000 djihadistes venus de 43 pays musulmans pour faire le djihad en Afghanistan.
« Payée 
par des fonds de la CIA, des annonces publicitaires incitant à se 
joindre au djihad ont été placées dans les journaux et bulletins 
d’information à travers le monde. »
3. Washington appuie le réseau terroriste islamique depuis l’administration Reagan.
Ronald 
Reagan a appelé les terroristes des « combattants de la liberté ». Les 
États-Unis ont fourni des armes aux brigades islamiques. C’était pour 
« une bonne cause » : la lutte contre l’Union soviétique et un 
changement de régime ayant mené à la disparition d’un gouvernement laïc 
en Afghanistan.
Ronald Reagan rencontre les commandants des moudjahidines afghans à la Maison-Blanche en 1985 (Reagan Archives)
4. Des manuels djihadistes ont été publiés par l’Université du Nebraska.  « Les États-Unis ont dépensé des millions de dollars pour fournir aux écoliers afghans des manuels remplis d’images violentes et d’enseignements islamiques militants. »
5. Oussama ben Laden, «le demon» (Bogeyman) des États-Unis et fondateur d’Al-Qaïda a été recruté par la CIA en 1979,
 dès le début du djihad contre l’Afghanistan, appuyé par les États-Unis.
 Il avait 22 ans et a été formé dans un camp d’entraînement de guérilla 
soutenu par la CIA.
Al-Qaïda n’était pas derrière les attaques du 11-Septembre. Le 11
 septembre 2001 a fourni une justification à la guerre contre 
l’Afghanistan, basée sur l’idée que l’Afghanistan pratiquait le 
terrorisme d’État en soutenant Al-Qaïda. Les attaques du 11-Septembre 
ont contribué à l’élaboration de la « guerre mondiale au terrorisme » 
(Global War on Terrorism)
L’ÉTAT ISLAMIQUE
6. Le groupe État islamique (EI) était à l’origine une entité liée à Al-Qaïda et créée par le renseignement étasunien avec le soutien du MI6 britannique, du Mossad israélien, de l’Inter-Services Intelligence (ISI) pakistanais et du General Intelligence Presidency (GIP) saoudien, Ri’āsat Al-Istikhbarat Al-’Āmah (رئاسة الاستخبارات العامة).
7.
 Les brigades de l’EI ont participé à l’insurrection en Syrie contre le 
gouvernement de Bachar Al-Assad, insurrection appuyée par les États-Unis
 et l’OTAN.
8. L’OTAN et le Haut commandement turc étaient responsables du recrutement de mercenaires pour l’EI et Al-Nosra dès
 le début de l’insurrection syrienne en mars 2011. Selon des sources du 
renseignement israélien, cette initiative consistait en « une
 campagne visant à enrôler des milliers de volontaires musulmans dans 
les pays du Moyen-Orient et le monde musulman pour combattre aux côtés 
des rebelles syriens. L’armée turque logerait ces volontaires, les 
formerait et assurerait leur passage en Syrie. (DEBKAfile, NATO to give rebels anti-tank weapons, 14 août 2011.)
9. Il y a des forces spéciales occidentales et des services de renseignement occidentaux dans les rangs de l’EI. Des forces spéciales britanniques et le MI6 ont participé à la formation de rebelles djihadistes en Syrie.
10. Des experts
 militaires occidentaux travaillant à contrat pour le Pentagone ont 
formé les terroristes pour utiliser des armes chimiques.
« Les États-Unis et 
certains de leurs alliés européens utilisent des entrepreneurs liés à la
 Défense pour montrer aux rebelles syriens comment sécuriser les stocks 
d’armes chimiques en Syrie, ont déclaré dimanche à CNN un haut 
responsable étasunien et plusieurs diplomates de haut rang. » (CNN Report 9 décembre, 2012)
 11. La pratique de la décapitation de l’EI fait partie des programmes d’entraînement des terroristes appuyés par les États-Unis et mis en œuvre en Arabie Saoudite et au Qatar.
11. La pratique de la décapitation de l’EI fait partie des programmes d’entraînement des terroristes appuyés par les États-Unis et mis en œuvre en Arabie Saoudite et au Qatar.
12. Un grand nombre de mercenaires de l’EI, recrutés par l’allié des États-Unis, sont des criminels condamnés qui ont été libérés des prisons saoudiennes à condition qu’ils se joignent à l’EI. Des condamnés à mort saoudiens ont été recrutés pour rejoindre les brigades terroristes.
Des djihadistes ont rencontré des officiers israéliens de Tsahal ainsi que le premier ministre Nétanyahou. Les haut gradés de Tsahal reconnaissent tacitement que « des éléments du jihad mondial en Syrie » [EI et Al-Nosra] sont soutenus par Israël. Voir l’image ci-dessous :
« Le premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou et le ministre de la Défense Moshe Yaalon, aux côtés d’un mercenaire blessé, à l’hôpital militaire de campagne israélien sur le plateau du Golan occupé à la frontière de la Syrie, le 18 février 2014. »
LA SYRIE ET L’IRAK
14. Les 
mercenaires de l’EI sont les fantassins de l’alliance militaire 
occidentale. Leur mandat tacite est de ravager et détruire la Syrie et 
l’Irak, au nom de ceux qui les appuient, les États-Unis.
 15. Le sénateur étasunien John McCain a rencontré des chefs terroristes djihadistes en Syrie. (Voir la photo à droite.)
15. Le sénateur étasunien John McCain a rencontré des chefs terroristes djihadistes en Syrie. (Voir la photo à droite.)
16. La 
milice de l’État islamique, actuellement la cible présumée d’une 
campagne de bombardements des États-Unis et de l’OTAN en vertu d’un 
mandat de « lutte contre le terrorisme », est toujours soutenue 
clandestinement par les États-Unis. Washington et ses alliés continuent à fournir de l’aide militaire à l’État islamique.
17. Les bombardements des États-Unis et de leurs alliés ne visent pas l’EI, ils visent plutôt l’infrastructure économique de l’Irak et la Syrie, dont les usines et les raffineries de pétrole.
18. Le projet de califat de l’EI relève d’un programme de longue date de la politique étrangère des États-Unis, ayant pour but de diviser
 l’Irak et la Syrie en territoires distincts : un califat islamiste 
sunnite, une République chiite arabe et une République du Kurdistan.
LA GUERRE MONDIALE AU TERRORISME (GMAT)
19.
 « La guerre mondiale au terrorisme » (GMAT) est présentée comme un 
« choc des civilisations », une guerre entre les valeurs et les 
religions concurrentes, alors qu’en réalité, elle constitue une 
véritable guerre de conquête, guidée par des objectifs stratégiques et 
économiques.
20.
 Les brigades terroristes d’Al-Qaïda soutenues par les États-Unis (et 
appuyées secrètement par le renseignement occidental) ont été déployées 
au Mali, au Niger, au Nigeria, en Centrafrique, en Somalie et au Yémen.
Ces 
différentes entités affiliées à Al-Qaïda au Moyen-Orient, en Afrique 
subsaharienne et en Asie sont appuyées par des « atouts du 
renseignement » soutenus par la CIA. Ils sont utilisés par Washington afin de faire des ravages, créer des conflits internes et déstabiliser des pays souverains.
Guerre et mondialisation: La vérité derrière le 11 septembre, Michel Chossudovsky
21. Boko Haram au Nigeria, Al-Shabab en Somalie, le Groupe islamique combattant en Libye (GICL) (soutenu par l’OTAN en 2011), Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), la Jemaah Islamiyah (JI)
 en Indonésie, entre autres groupes affiliés à Al-Qaïda, sont soutenus 
clandestinement par les services de renseignement occidentaux.
22. Les États-Unis appuient également 
des organisations terroristes affiliées à Al-Qaïda dans la région 
autonome ouïgoure du Xinjiang en Chine. L’objectif sous-jacent consiste à
 déclencher l’instabilité politique en Chine occidentale.
L’on rapporte que des djihadistes chinois auraient reçu « une formation terroriste » de l’État islamique
 « dans le but de perpétrer des attaques en Chine ». L’objectif déclaré 
de ces entités djihadistes situées en Chine (servant les intérêts des 
États-Unis) est d’établir un califat islamique s’étendant jusque dans 
l’ouest de la Chine. (Michel Chossudovsky,  America’s War on Terrorism, Global Research, Montréal, 2005, chapitre 2).
TERRORISTES D’ORIGINE INTÉRIEURE
23. Les terroristes c’est nous  : Les
 États-Unis sons les architectes inavoués du groupe armé État islamique 
et le mandat sacré d’Obama est de protéger l’Amérique contre les 
attaques de l’EI.
24. La menace terroriste d’origine intérieure est une fabrication.
 Les gouvernements occidentaux et les médias en font la promotion dans 
le but d’abroger les libertés civiles et d’instaurer un État policier. 
Les attaques terroristes perpétrées par de présumés djihadistes et les 
avertissements d’attentats des terroristes sont invariablement mis en 
scène. Ils sont utilisés pour créer une atmosphère de peur et 
d’intimidation.
Les 
arrestations, les procès et les condamnations de « terroristes 
islamiques » visent pour leur part à entretenir la légitimité du Homeland Security, l’État sécuritaire des États-Unis, et de l’appareil d’application de la loi, de plus en plus militarisé.
L’objectif
 ultime est d’inculquer dans l’esprit de millions d’Étasuniens l’idée 
que l’ennemi est réel et que l’administration étasunienne va protéger la
 vie de ses citoyens.
25. La campagne de « lutte au terrorisme » contre l’État islamique a contribué à la diabolisation des musulmans, qui, aux yeux de l’opinion publique occidentale, sont de plus en plus associés aux djihadistes.
26. Toute
 personne qui ose remettre en question la validité de la « guerre 
mondiale au terrorisme » est accusée d’être un terroriste et soumise aux lois anti-terroristes.
Le but 
ultime de la « guerre mondiale au terrorisme » est de soumettre les 
citoyens à l’autorité, de dépolitiser complètement la vie sociale aux 
États-Unis, d’empêcher les gens de penser et de conceptualiser, 
d’analyser les faits et de contester la légitimité de l’ordre social 
inquisitorial qui gouverne le pays.
L’administration
 Obama a imposé un consensus diabolique avec le soutien de ses alliés, 
sans compter le rôle complice du Conseil de sécurité des Nations Unies. 
Les médias occidentaux ont adopté le consensus; ils décrivent le groupe 
État islamique comme une entité indépendante, un ennemi extérieur qui 
menace le monde occidental.
Le grand mensonge est devenu vérité.
Dites non au « grand mensonge ».
Passez le mot.
Au bout du compte, la vérité est une arme puissante.
Aidez-nous s’il vous plaît à aller de l’avant. Nous comptons sur l’appui de nos lecteurs.
Pour la paix et la vérité dans les médias.
Michel Chossudovsky
 
  
 
    

 
   
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