Ce n’est pas la première fois que la demeure de notre
camarade Souleimane Ramadane soit la cible de leurs missiles. Déjà en 2006,
lors de l’agression sioniste contre son peuple et sa résistance, puis les trois
dernières fois, tout récemment.
Aujourd’hui, l’auteur, quel qu’il soit, n’a fait que signer
sa traîtrise et son objectif est bien plus grand et plus dangereux que ses
minables missiles détruisant la demeure d’un communiste résistant et de ses enfants ; par l’assassinat
d’une famille, il voulait faire pulvériser la paix civile qui règne à Baalbek et
dans sa région.
Rien n’est laissé au hasard lorsqu’il s’agit d’un communiste ;
en 1985, Souleimane blessé, et pendant sa détention par
le traître collaborateur Antoine Lahd, sous la torture, on lui avait
sectionné son pieds
droit…, puis furent 15 ans de détention dans le camp de la mort de
Khiam.
On a voulu qu’il avoue, qu'il dénonce et qu’il renonce à résister ; en vain, la victoire, celle de son peuple et de sa résistance était au rendez-vous.
On a voulu qu’il avoue, qu'il dénonce et qu’il renonce à résister ; en vain, la victoire, celle de son peuple et de sa résistance était au rendez-vous.
Et voilà que l’on revienne aujourd’hui voulant absolument
commettre le crime, souhaitant ainsi transformer le roc et les hommes en
bandes toujours en conflits tribaux et confessionnels contre lesquels Souleimane
et ses camarades se battent depuis les années soixante dix à nos jours.
Nous le disons haut et fort, ceux qui avaient assassiné
Georges Haoui sont les mêmes qui, aujourd’hui, visent nos camarades garants de
l’unité de notre peuple.
Nos camarades et nos
résistants, vivants ou tués, torturés ou blessés, resteront cette limpide
lumière qui éclaire les chemins, tous les chemins de la liberté, notre dignité
et notre salut : la Paix Civile.
Le combat n’a pas commencé hier
et ne se terminera pas demain.
Soyez rassurés, notre Résistance
vaincra le confessionnalisme et la collaboration…
Ci-dessous les
quelques photos qui témoignent de cette haine inouïe s’abattant sur une de ces
demeures dans lesquelles naissent et grandissent les
consciences de la nécessité de l’acte à la fois révolutionnaire, résistant et
fermement attaché à la Paix Civile…
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