Human Right Watch (HRW) a appelé l'armée de l'occupation
israélienne à cesser de «harceler» les membres d'Addameer, une
organisation de défense des prisonniers palestiniens.
«Les militaires israéliens ont imposé de sévères restrictions et des amendes aux membres de l'équipe d'Addameer sans même affirmer qu'ils étaient impliqués dans la moindre activité violente et ce sans procès», a déploré HRW dans un communiqué publié dimanche 27 octobre.
Addameer (conscience en Arabe) fournit des services légaux et défend les droits des Palestiniens détenus par l'entité sioniste dans les prisons palestiniennes.
HRW cite plusieurs exemples de harcèlement. Ainsi la semaine dernière, un comptable travaillant pour Addameer a été placé en détention administrative pour quatre mois.
En septembre, l'armée israélienne a arrêté un avocat de l'organisation, accusé d'être membre du Front Populaire de Libération de la Palestine (FPLP) essentiellement en raison de son rôle dans l'organisation de manifestations non-violentes un an plus tôt.
Les autorités militaires interdisent également au directeur d'Addameer, Abdulatif Ghaith, de se rendre de son domicile à «Jérusalem-est» en Cisjordanie, sous le prétexte qu'il représente des «risques de sécurité», toujours selon HRW.
«Les autorités israéliennes devraient laisser les employés d'Addameer poursuivre leur travail en faveur des droits de l'Homme et ne pas en faire des victimes de l'arbitraire», a insisté l'organisation basée à New York.
«Israël» autorise la libération de 26 détenus palestiniens
Le gouvernement israélien a donné dimanche 27 octobre le feu vert à la libération de 26 prisonniers palestiniens détenus de longue date, libération qui devrait intervenir dans la nuit du mardi 29 au mercredi 30 octobre 2013.
«A la suite de la décision du gouvernement (...) du 28 juillet 2013 de reprendre les négociations de paix entre Israël et l'Autorité palestinienne et de nommer une commission ministérielle en vue de libérer des prisonniers pendant les négociations, la libération de vingt-six prisonniers a été validée ce soir», a précisé le bureau du premier ministre, Benyamin Nétanyahou.
«Tous les prisonniers libérés ont commis des délits avant les accords d'Oslo et ont purgé des peines de dix-neuf à vingt-huit ans de prison», ajoute le texte, précisant que vingt et un d'entre eux sont originaires de Cisjordanie occupée et cinq de la bande de Gaza.
Source : agences
«Les militaires israéliens ont imposé de sévères restrictions et des amendes aux membres de l'équipe d'Addameer sans même affirmer qu'ils étaient impliqués dans la moindre activité violente et ce sans procès», a déploré HRW dans un communiqué publié dimanche 27 octobre.
Addameer (conscience en Arabe) fournit des services légaux et défend les droits des Palestiniens détenus par l'entité sioniste dans les prisons palestiniennes.
HRW cite plusieurs exemples de harcèlement. Ainsi la semaine dernière, un comptable travaillant pour Addameer a été placé en détention administrative pour quatre mois.
En septembre, l'armée israélienne a arrêté un avocat de l'organisation, accusé d'être membre du Front Populaire de Libération de la Palestine (FPLP) essentiellement en raison de son rôle dans l'organisation de manifestations non-violentes un an plus tôt.
Les autorités militaires interdisent également au directeur d'Addameer, Abdulatif Ghaith, de se rendre de son domicile à «Jérusalem-est» en Cisjordanie, sous le prétexte qu'il représente des «risques de sécurité», toujours selon HRW.
«Les autorités israéliennes devraient laisser les employés d'Addameer poursuivre leur travail en faveur des droits de l'Homme et ne pas en faire des victimes de l'arbitraire», a insisté l'organisation basée à New York.
«Israël» autorise la libération de 26 détenus palestiniens
Le gouvernement israélien a donné dimanche 27 octobre le feu vert à la libération de 26 prisonniers palestiniens détenus de longue date, libération qui devrait intervenir dans la nuit du mardi 29 au mercredi 30 octobre 2013.
«A la suite de la décision du gouvernement (...) du 28 juillet 2013 de reprendre les négociations de paix entre Israël et l'Autorité palestinienne et de nommer une commission ministérielle en vue de libérer des prisonniers pendant les négociations, la libération de vingt-six prisonniers a été validée ce soir», a précisé le bureau du premier ministre, Benyamin Nétanyahou.
«Tous les prisonniers libérés ont commis des délits avant les accords d'Oslo et ont purgé des peines de dix-neuf à vingt-huit ans de prison», ajoute le texte, précisant que vingt et un d'entre eux sont originaires de Cisjordanie occupée et cinq de la bande de Gaza.
Source : agences
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire