Dans le contexte des développements militaires en Syrie et
l’avancée de l'armée syrienne sur plusieurs fronts, certaines parties
parrainant les rebelles syriens misent toujours sur l’option militaire
pour imposer de nouvelles réalités sur le terrain.
Pour atteindre cet objectif, ces pays mobilisent un nombre croissant de combattants et intensifient leurs aides en matière d’armes et de logistique, dans une tentative de revivifier des groupes armés ayant perdu la possibilité d’agir grâce aux frappes assénées par l’armée syrienne, notamment au rif de Damas et à Alep.
Parmi ces pays le Qatar, qui poursuit la mobilisation de centaines de combattants, pour les entrainer et les envoyer en Syrie. Des sources ont révélé à Al-Ahednews que la cellule de crise qatarie qui supervise l’enrôlement des mercenaires a intensifié dernièrement ses activités dans quelques pays, dont le Pakistan, l’Afghanistan, le Yémen. Selon cette source, de grands nombres de combattants dirigés par les qataris, rejoignent périodiquement des centres d’entrainement installés sur le territoire qatari. «Le principal centre d’entrainement est situé dans une villa, près de l’ambassade bahreïnie à Doha», affirme-t-on.
Toujours selon la source précitée, les services de renseignement qataris, en coopération avec deux officiers de l'armée de Saddam Hussein, supervisent la gestion de ce centre, l’enrôlement des combattants, l’entrainement de ces derniers et leur passage en Syrie, en Lybie et au Yémen!
Et la source de préciser que l’organisation des groupes des combattants se fait sous la couverture de compagnies de recrutement de travailleurs à Qatar. En effet, les renseignements qataris considèrent les pays pauvres comme source de combattants qui seront plus tard emmenés chez des religieux afin de les convaincre de la pensée salafiste, du port d’armes en prélude à leur participation au conflit en Syrie ou ailleurs.
Les agents des renseignements qataris recourent à des cheikhs d’origines afghane ou pakistanaise pour effectuer un lavage de cerveau aux recrutés avant de les entrainer au combat dans le centre précité.
À noter dans ce contexte que le Qatar avait ouvert un bureau officiel du mouvement Taliban afghan, lié étroitement à l’organisation Al-Qaïda. Ce pays entretient dans le même contexte de bonnes relations avec les combattants salafistes tchétchènes.
Il convient de rappeler à ce propos, l’attentat perpétré contre le président de la Tchétchénie séparatiste, Selim Khan Yandarbiyev, tué lors d’une explosion dans une banlieue de Doha, au moment où les autorités russes ont arrêté deux ressortissants qataris accusés de communication illicite avec les groupes tchétchènes armés à Moscou.
Les informations affirment qu’au moins 90 vols d’avions cargo militaires qataris sont arrivés en Turquie et en Jordanie dans la période entre 3 janvier 2012 et la fin d’avril 2013. Ces avions décollaient de la base aérienne d’Aïdid commune avec les forces américaines, pour décharger leurs cargaisons d’armes et d’équipements dans des entrepôts aux frontières jordaniennes et turques, avant de les acheminer aux rebelles en Syrie.
Source: French.alahednews
Pour atteindre cet objectif, ces pays mobilisent un nombre croissant de combattants et intensifient leurs aides en matière d’armes et de logistique, dans une tentative de revivifier des groupes armés ayant perdu la possibilité d’agir grâce aux frappes assénées par l’armée syrienne, notamment au rif de Damas et à Alep.
Parmi ces pays le Qatar, qui poursuit la mobilisation de centaines de combattants, pour les entrainer et les envoyer en Syrie. Des sources ont révélé à Al-Ahednews que la cellule de crise qatarie qui supervise l’enrôlement des mercenaires a intensifié dernièrement ses activités dans quelques pays, dont le Pakistan, l’Afghanistan, le Yémen. Selon cette source, de grands nombres de combattants dirigés par les qataris, rejoignent périodiquement des centres d’entrainement installés sur le territoire qatari. «Le principal centre d’entrainement est situé dans une villa, près de l’ambassade bahreïnie à Doha», affirme-t-on.
Toujours selon la source précitée, les services de renseignement qataris, en coopération avec deux officiers de l'armée de Saddam Hussein, supervisent la gestion de ce centre, l’enrôlement des combattants, l’entrainement de ces derniers et leur passage en Syrie, en Lybie et au Yémen!
Et la source de préciser que l’organisation des groupes des combattants se fait sous la couverture de compagnies de recrutement de travailleurs à Qatar. En effet, les renseignements qataris considèrent les pays pauvres comme source de combattants qui seront plus tard emmenés chez des religieux afin de les convaincre de la pensée salafiste, du port d’armes en prélude à leur participation au conflit en Syrie ou ailleurs.
Les agents des renseignements qataris recourent à des cheikhs d’origines afghane ou pakistanaise pour effectuer un lavage de cerveau aux recrutés avant de les entrainer au combat dans le centre précité.
À noter dans ce contexte que le Qatar avait ouvert un bureau officiel du mouvement Taliban afghan, lié étroitement à l’organisation Al-Qaïda. Ce pays entretient dans le même contexte de bonnes relations avec les combattants salafistes tchétchènes.
Il convient de rappeler à ce propos, l’attentat perpétré contre le président de la Tchétchénie séparatiste, Selim Khan Yandarbiyev, tué lors d’une explosion dans une banlieue de Doha, au moment où les autorités russes ont arrêté deux ressortissants qataris accusés de communication illicite avec les groupes tchétchènes armés à Moscou.
Les informations affirment qu’au moins 90 vols d’avions cargo militaires qataris sont arrivés en Turquie et en Jordanie dans la période entre 3 janvier 2012 et la fin d’avril 2013. Ces avions décollaient de la base aérienne d’Aïdid commune avec les forces américaines, pour décharger leurs cargaisons d’armes et d’équipements dans des entrepôts aux frontières jordaniennes et turques, avant de les acheminer aux rebelles en Syrie.
Source: French.alahednews
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