les services d'Abbas ont torturé à mort un résistant
Le mouvement Hamas a accusé, ce lundi, les services de sécurité de l’Autorité palestinienne d’avoir torturé à mort l’un de ses membres détenu en Cisjordanie.
Le porte-parole du Hamas, Fawzi Barhoum, a affirmé dans un communiqué que le détenu, Mohammad Al-Haj, 30 ans, avait "été torturé à mort" dans une prison de la Sécurité préventive à Jénine, dans le nord de la Cisjordanie.
"Les traces de torture sur son corps prouvent cela", a-t-il ajouté en démentant "catégoriquement" qu’Al-Haj ait pu se suicider comme l’a affirmé la Sécurité préventive dimanche en annonçant sa mort.
La Sécurité préventive a indiqué qu’Al-Haj avait été arrêté le 6 février, sans préciser les raisons de sa détention.
De son coté, un membre de la direction politique du Hamas, Raafat Nassif, a affirmé que son mouvement ne participerait pas à un dialogue de réconciliation avec le parti Fatah du président palestinien Mahmoud Abbas, prévu en principe le 22 février au Caire, avant la libération de ces détenus.
"Nous ne participerons à aucun dialogue si les prisons des services de sécurité en Cisjordanie ne sont pas vidées et si la campagne visant à éradiquer le Hamas n’est pas arrêtée", a dit M. Nassif dans un communiqué.
Le porte-parole du Hamas, Fawzi Barhoum, a affirmé dans un communiqué que le détenu, Mohammad Al-Haj, 30 ans, avait "été torturé à mort" dans une prison de la Sécurité préventive à Jénine, dans le nord de la Cisjordanie.
"Les traces de torture sur son corps prouvent cela", a-t-il ajouté en démentant "catégoriquement" qu’Al-Haj ait pu se suicider comme l’a affirmé la Sécurité préventive dimanche en annonçant sa mort.
La Sécurité préventive a indiqué qu’Al-Haj avait été arrêté le 6 février, sans préciser les raisons de sa détention.
De son coté, un membre de la direction politique du Hamas, Raafat Nassif, a affirmé que son mouvement ne participerait pas à un dialogue de réconciliation avec le parti Fatah du président palestinien Mahmoud Abbas, prévu en principe le 22 février au Caire, avant la libération de ces détenus.
"Nous ne participerons à aucun dialogue si les prisons des services de sécurité en Cisjordanie ne sont pas vidées et si la campagne visant à éradiquer le Hamas n’est pas arrêtée", a dit M. Nassif dans un communiqué.
Al Manar, le 09/02/2009
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