07 février 2009

sur-représentation sioniste au sein du gouvernement d'Obama




Sur-représentation sioniste au sein du gouvernement d'Obama


Les noms et (personnages) désignés par Obama afin d’occuper des postes clés de décision à la Maison Blanche et des postes éminents dans l’équipe de stratèges se sont d’ores et déjà transformés en une instance historique révélatrice inédite de la composition clairement « judéo-sioniste » du pouvoir impérial des Etats-Unis qui se trouvait jusqu’alors dissimulée derrière une fausse alternance de démocrates et républicains dans la gérance impériale de Washington.
Une partie de l’électorat américain sera surprise lorsqu’elle découvrira qu’elle n’a pas voté pour un noir ( en réalité métis) mais pour un blond qui n’a rien à voir avec ce « changement historique » promis lors de la campagne ; c’est même tout le contraire.
L’échange du noir ( Obama, président en titre élu) contre le blond ( Clinton, le pouvoir politique dans l’ombre) s’est d’ores et déjà transformé en une instance historique révélatrice inédite de la composition clairement « judéo-sioniste » du pouvoir impérial qui se trouvait jusqu’alors dissimulée derrière une fausse alternance de démocrates et républicains dans la gérance de la Maison blanche.
La réalité est accablante. La majorité des fonctionnaires qui vont intégrer le cabinet Obama sont des acteurs reconnus du lobby sioniste financier juif de New York et appartenaient au gouvernement de l’ex président Clinton. A présent, la composition exclusivement « clintonienne » de l’équipe d’Obama sonne déjà tel un scandale dans les cercles de pouvoir à Washington, bien que la presse américaine fasse « celle qui ne comprend pas » et préfère parler de « défi » que devra surmonter le président élu face à la crise financière.
Comme un goût de Clinton
En examinant de plus près la liste des nouveaux membres de l’équipe du gouvernement du président élu des Etats-Unis, Barack Obama, on se rend compte que la quasi-totalité des nommés ont une relation avec l’administration de l’ex-président Bill Clinton (1993-2001), affirme la chaîne britannique BBC, premier média international qui montre la future présidence d’Obama comme un « recyclage » de l’ère « clintonienne ».
Dans les usines et les centres de pouvoirs américains, la conformation de l’équipe du gouvernement de Barack Obama est déjà perçue comme un « retour » de l’ex administration Clinton qui gouverna les Etats-Unis pendant deux périodes cruciales identifiées comme la « bulle » financière et l’expansion du « libre commerce » à échelle globale.
« Depuis le chef du cabinet Obama, Rahm Emanuel, ex-conseiller de la Maison Blanche pendant le dernier mandat démocrate, jusqu’à l’ex- Première Dame et sénatrice de New York elle-même, Hillary Clinton, nommée secrétaire d’Etat, la majorité de la dream team d’Obama est marquée par Bill Clinton dans sa carrière politique », soutient la BBC.
Eric Holder, bientôt à la tête des finances, fut sous-secrétaire du Ministère de la Justice sous Bill Clinton, Larry Summers travailla comme secrétaire du Trésor Public sous le même Président et il est à présent à un poste clé de l’équipe économique d’Obama. John Podesta, directeur de son équipe de transition, fut le chef du personnel de la Maison Blanche et conseiller de Clinton pendant plus de dix ans, précise la chaîne.
Bill Richardson, secrétaire à l’énergie et ambassadeur à l’ONU pendant l’administration Clinton, est également bien placé pour le poste de secrétaire au commerce.
Janet Napolitano, (sioniste pro-Israël de la lignée de Nancy Peloso, présidente de la Chambre des Représentants), gouverneur de l’Arizona, certainement remplaçante de Michael Chertoff au département de la Sécurité Nationale, fut nommée par Clinton à son premier poste politique en 1993 et Greg Craig, prochain avocat de la Maison Blanche, défendit avec succès le président lors de son procès de destitution suite au scandale Monica Lewinsky.
Un des principaux conseillers de Clinton, David Axelrod, occupera le même poste que celui qu’occupait Karl Rove jusqu’il y a quelques mois dans l’administration républicaine et grâce auquel il gagna le quolibet de « cerveau » de Bush.
Lors d’une conférence de presse à Chicago, Obama annonça la nomination de Peter Orszag comme directeur du bureau des budgets de la Maison blanche. Orszag, 39 ans, était jusqu’alors directeur du bureau de la gestion du budget du congrès et fut conseiller de l’ex président Bill Clinton. La BBC affirme que nombreux sont ceux qui se demandent pourquoi Obama recherche autant de « Clintonistes recyclés », y compris une Clinton en chair et en os, après deux ans de campagne contre la « culture politique de Washington » et après une bataille féroce contre la sénatrice Hillary Clinton.
En réalité (et selon l’information qui circule à Wasington) Obama n’a pas voté pour Clinton ( le mari de sa rivale pendant les présidentielles) mais il obéit au lobby sioniste libéral qui finança sa campagne et fit de lui le « phénomène Obama ».
Hillary Clinton fut la « candidate aux présidentielles » à l’origine du lobby, qui n’a choisi Obama que lorsqu’elle a commencé à chuter dans les sondages. Si Hillary gagnait, Bill Clinton allait perdre le pouvoir.
Le triomphe d’Obama ne modifia en rien la stratégie centrale : Bill Clinton, le président qui a le plus de succès auprès du lobby de la banque de New York, fera jouer son influence et orientera les décisions au sein du nouveau cabinet composé majoritairement de ses anciens fonctionnaires.
Bill Clinton fut l’architecte de la « bulle financière », il pilota l’expansion des affaires dans l’ex « rideau de fer », et il laissa la voie libre à Bush pour commencer l’ère de la « guerre anti-terroriste » et des guerres de conquête du pétrole au Moyen Orient et en Eurasie. Pendant l’ère Clinton, « l’ouverture des marchés » dans l’ex espace soviétique s’est installée : les banques et corporations capitalistes se sont étendues dans les ex républiques socialistes et se sont emparées de leurs marchés et de leurs ressources naturelles ( y compris les réseaux d’oléoducs de gaz et de pétroles) ôtant son pouvoir économique à la Fédération russe.
L’administration Clinton, alliée de l’OTAN, compléta la stratégie de « prise des marchés » par une politique d’occupation des ex espaces soviétiques par le biais de conspirations putschistes qui installèrent des gouvernements « pro-occidentaux » dans les républiques socialistes. De plus, elle consolida sa stratégie géopolitique militaire dans la région par le bombardement et la dislocation de l’ex Yougoslavie, et elle installa les bases de l’expansion au Moyen Orient par les bombardements préventifs en Irak.
Tout le monde se demande (remarque la chaîne BBC) quel sera le rôle de Bill Clinton, qui, sans charge officielle et avec assez de temps libre, a déjà causé des maux de tête à Obama avec ses commentaires. Par ailleurs, il sera le principal conseiller d’Hillary Clinton si elle parvient à être secrétaire d’Etat.
« La nouvelle administration Obama », « l’ère Clinton : deuxième partie ? », « la bande à Clinton de retour », « Clinton + Obama = quel cinéma ! », sont autant de titres qui commencent à circuler dans Washington.
Dans la blogosphère, source clé de soutien pour Obama, les commentateurs se plaignent, disant que s’ils avaient souhaité le retour de « Clinton » à la Maison Blanche ils auraient voté pour Hillary.
« Les nouveaux visages n’ont aucune chance d’intégrer le cabinet Obama », signala le porte-parole du comité national du parti républicain, Alex Conant. « Le cabinet Barack Obama commence à ressembler à un rendez-vous de ’clintoniens’ », ajouta-t-il.
Dans son éditorial, le journal conservateur The New York Post ironise également : « Félicitations à Hillary (et Bill) Clinton, qui semblent avoir remporté les élections présidentielles, malgré les résultats officiels du 4 novembre ».
Le recyclage du lobby sioniste

Mais si les presses européennes et américaines, y compris la presse républicaine, relèvenet déjà avec « ironie » l’évidente influence de Bill Clinton au sein du gouvernement Obama, elles oublient de dire (pour la bonne raison qu’elles font partie du système) que les postes clés du cabinet seront occupés par des acteurs reconnus du lobby sioniste qui contrôle le Trésor Public, la Réserve Fédérale et tous les ressorts stratégiques du pouvoir impérial américain.
La preuve accablante des faits est plus forte que la manipulation médiatique qui tente de générer une attente de « changement » dans la politique impériale. La réalité montre qu’Obama s’est finalement laissé emprisonner par la logique du pouvoir sioniste : Joseph Biden, vice-président ( contrôle du lobby sur la Maison Blanche), Rahm Emanuel, chef du cabinet (contrôle du lobby sur l’environnement d’Obama), Timothy Geithner, secrétaire du Trésor Public (contrôle du lobby sur le système de la Réserve Fédérale), et Hillary Clinton, secrétaire d’Etat (contrôle du lobby sur la politique extérieure).
Le plus haut niveau de décision politique, les postes de l’exécutif et l’entourage du président, le plus haut niveau de décision économique financière et l’exécution de la politique extérieure (le cœur de l’empire) vont se retrouver entre les mains d’acteurs du lobby juif sioniste (en version libérale) de la « grande pomme » bancaire de New York.
En résumé, la Maison Blanche (le pouvoir politique), le Trésor Public (le pouvoir financier), le Département d’Etat (le pouvoir impérial) et le Pentagone (le pouvoir militaire qui restera aux mains de Robert Gates) répondront aux intérêts stratégiques du lobby juif qui gouvernera les Etats-Unis auprès d’Obama telle la « cerise sur le gâteau ».
Autre « poids lourd » du lobby, l’ex chef de la Réserve Fédérale américaine Paul Volcker se chargera de diriger dans la future administration de Barack Obama un nouveau conseil en matière économique créé spécialement afin de stabiliser les marchés financiers en pleine crise internationale, selon l’information de mardi du Wall Street Journal.
D’après des sources démocrates, le journal ajouta que l’économiste de l’Université de Chicago et conseiller de campagne Austan Goolsbee, autre acteur notoire du lobby, deviendra le directeur exécutif de cette commission. Par ailleurs, lundi dernier, le président élu des Etats-Unis, Barack Obama, confirma la rumeur qui circulait déjà depuis quelques jours : Tim Geithner ( futur secrétaire du Trésor Public) et Larry Summers dirigeront l’équipe qui devra faire face à une crise économique aux « proportions historiques ».
Le nom de Summers, 53 ans et ex président de l’Université de Harvard, apparaît également pour le remplacement de Ben Bernanke à la fin de son mandat à la Réserve Fédérale en 2010. A la différence de Geithner, Summers n’aura pas à subir le processus de confirmation du sénat avant de devenir officiellement le conseiller du président. « Le vice-président élu, Joe Biden et moi-même avons formé une équipe lucide et habile afin de stabiliser notre économie, créer des emplois et remettre l’Amérique sur la bonne voie », affirma Obama pendant sa deuxième apparution face aux médias à Chicago depuis la nuit électorale du 4 novembre.
De plus, Obama annonça que le professeur de Berkeley Christina Romer, autre sioniste du cercle des démocrates, sera à la tête du Conseil des Consultants Economiques de la Maison Blanche tandis qu’une autre actrice du lobby, Melody Barnes, ex vice présidente du « réservoir de pensée » libérale Center for American Progress, sera la directrice du Conseil de Politique Domestique. De même, Warren Buffet et Georges Soros, acteurs historiques et gourous emblématiques du lobby juif sioniste new-yorkais occupent des postes de « conseillers phares » dans le cercle qui entoure Obama.
Un acteur médiatique du sionisme, le président de Time-Warner, Richard Parsons (connu pour être le contact d’Obama à la CNN), a de grandes chance de faire partie de l’équipe de stratèges du président.
Parsons, le président de Times-Warner Inc, propriétaire de la chaîne de télévision CNN, est également directeur de Citigroup, un des grands bénéficiaires du rachat financier que poursuivra l’administration Obama.
Mais la « grande trilogie » du lobby financier qui contrôle Obama est composée de Timothy Geithner, Lauwrence Summers et Robert Rubin, stratège favori de Bill Clinton. Le Trésor Public, colonne vertébrale du sionisme financier qui (avec la Réserve Fédérale) contrôle l’empire américain, sera occupé par Timothy Geithner, actuel président de la stratégique Réserve Fédérale de New York où se trouvent les maisons mères des 100 principales banques et entités financières des Etats-Unis.
Obama a déjà décidé de nommer Geithner, 47 ans, comme secrétaire du Trésor Public, tandis que Lauwrence Summers, 53 ans, sera le directeur du Conseil Economique National de la Maison Blanche, d’après les affirmations, samedi dernier, d’un membre de l’équipe de transition.
Les deux furent membres du gouvernement de Bill Clinton, et intégrèrent avec Robert Rubin, les lignes stratégiques du plan « d’ouverture économique et de libre marché » qui finit par configurer le règne de la spéculation financière à échelle globale.
Aussi bien Geithner que Summers et Rubin représentent le niveau le plus haut du lobby sioniste bancaire à New York et leur nomination au côté d’Obama est le signe le plus clair que le lobby compte bien privilégier le secteur financier en crise en priorité.
Summers, qui fut le secrétaire du Trésor Public du temps de Clinton, mit en place pour Obama sa stratégie de « réponse à la crise financière » durant la campagne, et jouera un rôle déterminant en élaborant la politique économique et en coordonnant les conseillers du gouvernement.
Geithner, l’actuel président de la Réserve fédérale de New York où se trouvent les grands poulpes géants bénéficiaires du plan de rachat financier de 700 000 millions de dollars de Bush, sera le successeur de Paulson.
La réserve fédérale des Etats-Unis et le Département du Trésor Public viennent d’approuver un second plan de rachat financier pour un montant de 800 000 millions de dollars avec le but d’acheter des actifs hypothécaires et afin de réactiver les marchés de crédits à la consommation dont « héritera » Obama.
Ce plan de rachat, le second approuvé par l’administration du Président George W. Bush après une première enveloppe de 700 000 millions de dollars se divise en deux parties : 600 000 millions de dollars pour l’achat d’actifs hypothécaires et les autres 200 000 millions afin d’avaliser les crédits à la consommation.
Dans ce scénario, Timothy Geithner poursuivra le plan de « crise » de Bush de rachats des entités en faillite et qui donna lieu à un formidable coup financier des banques privées du système de la Réserve Fédérale ( dirigée par la Réserve de New York).
La présence de Geithner comme nouveau secrétaire du Trésor Public est la preuve irrévocable de la continuité du plan de rachat financier de Bush (et du macro coup financier qu’il implique) pendant la gestion d’Obama.
Avec Geithner, comme secrétaire du Trésor Public, il se peut, et ce avec la garantie de l’Etat américain, que l’ensemble des banques privées qui forment la Réserve Fédérale poursuivront leur activité (dans le cadre du schéma fonctionnel du « super-rachat » entrepris par le Gouvernement Fédéral) telles des supra entités prestataires qui brasseront des milliards destinés à faire des affaires (encore des milliards) avec les cadavres laissés par l’effondrement financier aux Etats-Unis.
Mais, comme le souligne la presse américaine, Obama prévoit d’élever encore plus le montant du « rachat” (ou du coût financier).
Selon le Wall Street Journal, des congressistes du parti Démocrate américain étudient la possibilité de mettre leur veto à un plan de « stimulation économique » de plusieurs milliards de dollars élaboré par Geithner et Summers par lequel le gouvernement Obama tentera de « sortir le pays de la récession » .
Comme c’est déjà le cas avec le plan Bush-Paulson, le « plan de stimulation » d’Obama centre son axe fonctionnel dans la normalisation du secteur financier avec l’objectif de restaurer l’économie en crise.
La Présidente de la Chambre des Représentants des Etas-Unis, Nancy Pelosi, souligna que les économistes de l’équipe d’Obama suggérèrent la nécessité d’adopter un plan d’une valeur de « centaines de milliards » de dollars.
Bien entendu, ni la presse conservatrice ni les usines républicaines ne révèlent ce « détail » (du macro coût financier capitaliste de la crise) lorsqu’ils critiquent Obama lui reprochant d’avoir fait de son cabinet le « retour de Bill Clinton ».

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