L'ugtt contre la démocratie.
Dans
une démocratie, le peuple a droit à la vérité, toute la vérité et
rien que la vérité; ce qui m'amène à constater d'une façon
rationnelle, après les récents "événements" et le chaos organisé à
SILIANA entre autres, et les tribulation d'un syndicat l'UGTT en phase
terminale, à ne pas en douter, dés qu"un syndicat prétend jouer un
rôle de leadership politique et devient le sanctuaire de toutes les
frustrations politiciennes , il se condamne aux dérapages, au mensonge
et à la fitna, et sa représentativité devient sélective. Faut-il le
rappeler, en son sein et depuis sa création par des résistants, des
tunisiens honorables et patriotes, les différences idéologiques et
politiques de ses adhérents lui ont toujours donné une réalité
nationale et syndicale légitime et évidente aux yeux de tous les
tunisiens, aujourd'hui sa sélectivité idéologique orientée, agressive
et la notabilité thuriféraire , et le dévoiement de sa direction le
décrédibilisent, l'affaiblissent et lui collent l'étiquette de
l'infamie, celle de la trahison de classe et l'instrumentalisation
par le faux et l'usage du faux des symboles, celui du martyr F.HACHED
par exemple.
Que cette démocratie totale est encore loin être une réalité en TUNISIE, ce n'est un secret pour personne, et ce n'est pas faute de la volonté des élus du peuple, légitimes, mais plutôt celle d'une réaction qui ne finit pas de mourir, la tête de la dictature a été décapité, mais le corps bouge encore et son venin est nocif. Les vieilles méthodes et les vielles pratiques ont décidément la peau dure, et cette Monophonique opposition précaire et chineuse dans sa majorité est une réalité fantoche de continuité RCD, BEN ALI est encore à TUNIS? C'est sûr, il suffit de lire les "pedigree" de ses bonimenteurs et leur indécent verbiage sur des réalités mauves mortes et enterrées à tout jamais par la seule volonté du peuple tunisien, pour comprendre, en démocrate, que la révolution est encore à ses premières balbutiements et que rien n'est terminé, mais NO PASSARENTE, les tunisiens ont désormais le sens de la mesure et une addiction aux valeurs humanistes et de liberté que même les menaces réactionnaires et les rêves des sbires mauves d'une guerre civile ou d' un putsch militaire n'arriveront pas à les rejeter dans la peur des lendemains et la moutonnerie imbéciles des peuples soumis.
Cette opposition schizophrène dans son acharnement thérapeutique à mépriser les choix des tunisiens , choix foncièrement démocratiques, Ne peut donner que des résultats négatifs et Ne fournir qu'un travail bâclé et honteux, son seul programme, c'est de détruire, insulter l'avenir et pratiquer la politique de la terre brûlée, c'est une question de survie pour elle, et c'est un cas de casus belli, pour tout démocrate qui se respecte.
Pour cette partie de l'opposition putschiste dans le bon sens du terme qui veut baser sa légitimité sur le mensonge, les coups bas, le coup de dague dans le dos, comme celui fasciste de SILIANA, et le chantage à la gréve générale pour tromper les tunisiens et bafouer la légitimité révolutionnaire, le temps est un allié précieux, il est précieux pour ces imposteurs, mais il peut leur jouer un sale tour, car les tunisiens sont désormais responsables et mâtures, ils ont oublié d'être bêtes dans leur immense majorité, le sale tour que j’espère, c'est que les militants de base de l'UGTT prennent leurs responsabilités citoyennes et mettent aux pas légalement cette direction mauve de la prébende, irresponsable et même antinationale, la bonne surprise pour le pays serait un vrai syndicat qui fait du syndicalisme et à sa tête des syndicalistes qui servent l’intérêt général et qui ne se servent pas, et les prochaines élections devront être aussi , leurs résultats, être juridiquement, une ligne rouge pour tous ceux qui méprisent les urnes , c'est à dire l'état de droit, et l'occasion de faire leur examen de conscience, mais aussi aux vainqueurs, par la justice, de s'obliger à ce travail de mémoire et faire la lumière sur les années noires de cette dictature de plus de 50 ans, que les criminels et les traitres paient, c'est à ce seul prix que la démocratie tunisienne sera accomplie et pérenne .
IL NE FAUT jamais cesser de la contester et de lui dire ses quatre vérités à cette opposition clientéliste et névrotique, thuriféraire et versatile à crever d'aliénation, le temps qu'elle demande pour faire ses preuves est une opération de piraterie, les urnes ont parlé et ils ne sont RIEN ou si peu de chose, d'où la tentation permanente de l'arbitraire et de la démence qui la décompose jusqu'à la violence, la haine et les appels au meurtre; et ce ne sont pas les godillots et les pions d'ELJAMHOURI, d'ELARRIDA ou d'ETTAJDID qui pourront garantir sa représentativité, ses marionnettistes sont autrement plus dangereux.Il faut faire comprendre à cette comédie mauve que les tunisiens sont convaincus de la légitimité révolutionnaire de la TROIKA, pour la période de transition, et convaincus de sa minable stratégie aliénée aux intérêts supranationaux, il faut faire comprendre à cette croisade de truands et d'ego sans principe que le mensonge en politique constitue un abus de confiance et un bris de contrat, car une révolution est une sorte de fiducie, le contrat passé entre le peuple et ses représentants a été paraphé par le sang des dizaines de nos MARTYRS, blessés et disparus depuis 1956, alors que l'imposture aujourd'hui, de cette réaction en TUNISIE, veut confisquer par la trahison la révolution des tunisiens.
Le peuple cède à ses mandataires, les députés élus à la constituante , pendant cette délicate période de transition, le soin d’administrer la chose publique et il se réserve le droit d’évaluer leur travail aux prochaines élections, mais cela ne peut se faire que dans une situation claire, pas dans une mise en scène imposée par les résidus de fausse couche du RCD.
Si le peuple est insatisfait, il a le pouvoir de congédier ceux qu'il a démocratiquement élu et de les remplacer,aujourd'hui les tunisiens sont les victimes d'un autisme criminel et antidémocratique de cette partie d'un opposition, lâche et irresponsable, il est temps que cela cesse, je dirais même pour la propre sécurité des réactionnaires et des contre-révolutionnaires .
Entre un peuple révolté et qui s'est libéré tout seul et un pouvoir politique, ne serais que pour une période de transition, il doit y avoir, non seulement une relation de confiance, mais aussi un contrat explicite, fondé sur le droit des citoyens de choisir leurs représentants à n'importe quel niveau et à n'importe quelle période, et que ces élus sont légitimes et habilités à choisir le gouvernement de transition , et que ce gouvernement à tous les droits de nommer ses fonctionnaires , mais la sagesse impose aussi aux vainqueurs et surtout quand ils n'ont pas la majorité absolue d'être en concertation avec leur allié et de les respecter, s'ils veulent être respectés, c'est le principe même d'une coalition démocratique, en s'endormant sur ses lauriers, il faut reconnaitre qu'ENNAHDA multiplie les difficultés, et pousse sérieusement à une union sacré naturelle en démocratie face à toute forme d'hégémonie aveugle.
Que cette démocratie totale est encore loin être une réalité en TUNISIE, ce n'est un secret pour personne, et ce n'est pas faute de la volonté des élus du peuple, légitimes, mais plutôt celle d'une réaction qui ne finit pas de mourir, la tête de la dictature a été décapité, mais le corps bouge encore et son venin est nocif. Les vieilles méthodes et les vielles pratiques ont décidément la peau dure, et cette Monophonique opposition précaire et chineuse dans sa majorité est une réalité fantoche de continuité RCD, BEN ALI est encore à TUNIS? C'est sûr, il suffit de lire les "pedigree" de ses bonimenteurs et leur indécent verbiage sur des réalités mauves mortes et enterrées à tout jamais par la seule volonté du peuple tunisien, pour comprendre, en démocrate, que la révolution est encore à ses premières balbutiements et que rien n'est terminé, mais NO PASSARENTE, les tunisiens ont désormais le sens de la mesure et une addiction aux valeurs humanistes et de liberté que même les menaces réactionnaires et les rêves des sbires mauves d'une guerre civile ou d' un putsch militaire n'arriveront pas à les rejeter dans la peur des lendemains et la moutonnerie imbéciles des peuples soumis.
Cette opposition schizophrène dans son acharnement thérapeutique à mépriser les choix des tunisiens , choix foncièrement démocratiques, Ne peut donner que des résultats négatifs et Ne fournir qu'un travail bâclé et honteux, son seul programme, c'est de détruire, insulter l'avenir et pratiquer la politique de la terre brûlée, c'est une question de survie pour elle, et c'est un cas de casus belli, pour tout démocrate qui se respecte.
Pour cette partie de l'opposition putschiste dans le bon sens du terme qui veut baser sa légitimité sur le mensonge, les coups bas, le coup de dague dans le dos, comme celui fasciste de SILIANA, et le chantage à la gréve générale pour tromper les tunisiens et bafouer la légitimité révolutionnaire, le temps est un allié précieux, il est précieux pour ces imposteurs, mais il peut leur jouer un sale tour, car les tunisiens sont désormais responsables et mâtures, ils ont oublié d'être bêtes dans leur immense majorité, le sale tour que j’espère, c'est que les militants de base de l'UGTT prennent leurs responsabilités citoyennes et mettent aux pas légalement cette direction mauve de la prébende, irresponsable et même antinationale, la bonne surprise pour le pays serait un vrai syndicat qui fait du syndicalisme et à sa tête des syndicalistes qui servent l’intérêt général et qui ne se servent pas, et les prochaines élections devront être aussi , leurs résultats, être juridiquement, une ligne rouge pour tous ceux qui méprisent les urnes , c'est à dire l'état de droit, et l'occasion de faire leur examen de conscience, mais aussi aux vainqueurs, par la justice, de s'obliger à ce travail de mémoire et faire la lumière sur les années noires de cette dictature de plus de 50 ans, que les criminels et les traitres paient, c'est à ce seul prix que la démocratie tunisienne sera accomplie et pérenne .
IL NE FAUT jamais cesser de la contester et de lui dire ses quatre vérités à cette opposition clientéliste et névrotique, thuriféraire et versatile à crever d'aliénation, le temps qu'elle demande pour faire ses preuves est une opération de piraterie, les urnes ont parlé et ils ne sont RIEN ou si peu de chose, d'où la tentation permanente de l'arbitraire et de la démence qui la décompose jusqu'à la violence, la haine et les appels au meurtre; et ce ne sont pas les godillots et les pions d'ELJAMHOURI, d'ELARRIDA ou d'ETTAJDID qui pourront garantir sa représentativité, ses marionnettistes sont autrement plus dangereux.Il faut faire comprendre à cette comédie mauve que les tunisiens sont convaincus de la légitimité révolutionnaire de la TROIKA, pour la période de transition, et convaincus de sa minable stratégie aliénée aux intérêts supranationaux, il faut faire comprendre à cette croisade de truands et d'ego sans principe que le mensonge en politique constitue un abus de confiance et un bris de contrat, car une révolution est une sorte de fiducie, le contrat passé entre le peuple et ses représentants a été paraphé par le sang des dizaines de nos MARTYRS, blessés et disparus depuis 1956, alors que l'imposture aujourd'hui, de cette réaction en TUNISIE, veut confisquer par la trahison la révolution des tunisiens.
Le peuple cède à ses mandataires, les députés élus à la constituante , pendant cette délicate période de transition, le soin d’administrer la chose publique et il se réserve le droit d’évaluer leur travail aux prochaines élections, mais cela ne peut se faire que dans une situation claire, pas dans une mise en scène imposée par les résidus de fausse couche du RCD.
Si le peuple est insatisfait, il a le pouvoir de congédier ceux qu'il a démocratiquement élu et de les remplacer,aujourd'hui les tunisiens sont les victimes d'un autisme criminel et antidémocratique de cette partie d'un opposition, lâche et irresponsable, il est temps que cela cesse, je dirais même pour la propre sécurité des réactionnaires et des contre-révolutionnaires .
Entre un peuple révolté et qui s'est libéré tout seul et un pouvoir politique, ne serais que pour une période de transition, il doit y avoir, non seulement une relation de confiance, mais aussi un contrat explicite, fondé sur le droit des citoyens de choisir leurs représentants à n'importe quel niveau et à n'importe quelle période, et que ces élus sont légitimes et habilités à choisir le gouvernement de transition , et que ce gouvernement à tous les droits de nommer ses fonctionnaires , mais la sagesse impose aussi aux vainqueurs et surtout quand ils n'ont pas la majorité absolue d'être en concertation avec leur allié et de les respecter, s'ils veulent être respectés, c'est le principe même d'une coalition démocratique, en s'endormant sur ses lauriers, il faut reconnaitre qu'ENNAHDA multiplie les difficultés, et pousse sérieusement à une union sacré naturelle en démocratie face à toute forme d'hégémonie aveugle.
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