16 avril 2012

Bienvenue en Palestine : 40 Français emprisonnés en Israël (Vidéos)

avril 16, 2012 in Uncategorized

Une quarantaine de participants français de la mission Bienvenue en Palestine, ainsi qu’une dizaine d’autres internationaux, étaient emprisonnés lundi matin à Givon (près de Tel Aviv), après avoir refusé de se laisser déporter à leur arrivée, n’ayant commis aucune infraction ni délit, bien au contraire.
Selon le pointage que nous avons pu effectuer dans la nuit de dimanche à lundi, il y avait lundi 27 frères et sœurs arrivés à Tel Aviv à bord d’un avion Easyjet en provenance de Genève, et 10 ou 11 autres arrivés à bord d’un avion Air France en provenance de Nice.
Quelques uns ont réussi à ne pas se faire prendre leur portable, et ont ainsi pu donner au monde extérieur (à nous, à des proches restés en France) quelques nouvelles par SMS : le moral est excellent. Ils  maintiennent leur droit, élémentaire, de pouvoir se rendre en Palestine occupée et se préparent, si nécessaire, à se déclarer en grève de la faim, d’autant plus que mardi 17 avril est une journée générale de mobilisation des milliers de Palestiniens croupissant dans les geôles du régime de l’apartheid.
Exemple d’un SMS reçu ce lundi matin à 10 h30
« Nous sommes 13 filles de Lyon, 4 Ecossaises, 2 de Nice, 2 de Marseille, 3 de Paris, 1 du Québec, 1 de Corse ; ils ne nous laissent toujours pas le droit d’appeler au téléphone sans nous donner d’explications. On fait toutes grève de la faim tant qu’on peut pas téléphoner. Et demain on fait toutes grève de la faim avec les prisonnières palestiniennes ».
D’ores et déjà, les mesures draconiennes prises le gouvernement et les services secrets israéliens pour empêcher le millier de volontaires de rejoindre la Palestine (seule une demi-douzaine ont réussi à gagner Bethléem, à notre connaissance) s’est transformé en désastre diplomatique et politique pour Netanyahou et sa clique.
On le doit notamment à l’excès de zèle des services secrets qui, incapables de déterminer avec un minimum de crédibilité en quoi les volontaires auraient été de « dangereux extrémistes posant un problème existentiel à Israël », ont ratissé large, très large, dans la composition de leurs listes noires.
Le Haaretz révèle ainsi que pour des centaines de passagers dont les identités ont été traquées pendant des semaines, le Shin Bet n’a pas été incapable, non seulement d’établir qu’ils représentaient un quelconque « danger » pour Israël, mais même dans certains cas une quelconque activité de militantisme au service de la cause palestinienne !
Le ratissage n’a pas épargné un membre du Conseil d’administration du puissant laboratoire pharmaceutique allemand Merck (Merck Darmstadt) venu en Israël pour signer un accord de recherche scientifique ! Il s’est retrouvé black-listé !
Mieux, un diplomate français et sa femme qui doivent commencer à travailler au consulat français à Jérusalem cet été. Le couple avait l’intention de chercher un appartement à Jérusalem, mais la nuit avant leur départ,  ils ont reçu un e-mail de leur compagnie aérienne, Lufthansa, disant que leurs billets ont été annulés parce qu’ils avaient été interdits d’entrer en Israël !
En fait, ce qui est arrivé dimanche avec une passagère d’Air France, débarquée de son vol allant de Nice à Tel Aviv parce qu’elle avait répondu négativement à un questionnaire de la compagnie aérienne lui demandant si elle était « juive » ou « israélienne », donne une assez claire image de la stratégie d’exclusion élaborée par les agences d’espionnage israéliennes. Quand le passager n’est pas « racialement pur », on élimine.
Quitte à s’en prendre à des passagers présentant le « bon profil » : toujours dimanche à Nice, des membres de notre délégation ont été les témoins des mésaventures d’une passagère non membre de la mission interrogée de manière inquisitoriale par le personnel d’Air France. Son crime ? Cette femme, juive de nationalité française, avait tout l’air d’une Arabe, par son patronyme comme par le teint de sa peau, ce qui n’a rien d’étonnant dès lors qu’un grand nombre des Juifs en France sont originaires du monde arabe, Afrique du Nord en particulier. Et quand les employés d’Air France ont cherché à s’abriter derrière les consignes raciales qu’ils avaient reçues d’Israël, la passagère juive indignée a répondu : « Eh bien, maintenant, je n’aime pas ce pays ».
Partout où des passagers, des centaines, ont été refusés d’embarquement, il y a eu des protestations, vigoureuses, à Bruxelles, Genève, Mulhouse, Rome, Paris, Nice, etc… Nous en rendons compte au fur et à mesure sur ces sites http://www.bienvenuepalestine.com et http://www.europalestine.com, ainsi que par nos twitters @touspalestine, @Europalestine1, et sur la page Facebook.

Amis et membres de la mission, restez attentifs à la suite, et à toutes les initiatives qui seront annoncées.

Bienvenue en Palestine : 40 Français emprisonnés en Israël (Vidéos)

avril 16, 2012 in Uncategorized

Une quarantaine de participants français de la mission Bienvenue en Palestine, ainsi qu’une dizaine d’autres internationaux, étaient emprisonnés lundi matin à Givon (près de Tel Aviv), après avoir refusé de se laisser déporter à leur arrivée, n’ayant commis aucune infraction ni délit, bien au contraire.

Selon le pointage que nous avons pu effectuer dans la nuit de dimanche à lundi, il y avait lundi 27 frères et sœurs arrivés à Tel Aviv à bord d’un avion Easyjet en provenance de Genève, et 10 ou 11 autres arrivés à bord d’un avion Air France en provenance de Nice.

Quelques uns ont réussi à ne pas se faire prendre leur portable, et ont ainsi pu donner au monde extérieur (à nous, à des proches restés en France) quelques nouvelles par SMS : le moral est excellent. Ils maintiennent leur droit, élémentaire, de pouvoir se rendre en Palestine occupée et se préparent, si nécessaire, à se déclarer en grève de la faim, d’autant plus que mardi 17 avril est une journée générale de mobilisation des milliers de Palestiniens croupissant dans les geôles du régime de l’apartheid.

Exemple d’un SMS reçu ce lundi matin à 10 h30

« Nous sommes 13 filles de Lyon, 4 Ecossaises, 2 de Nice, 2 de Marseille, 3 de Paris, 1 du Québec, 1 de Corse ; ils ne nous laissent toujours pas le droit d’appeler au téléphone sans nous donner d’explications. On fait toutes grève de la faim tant qu’on peut pas téléphoner. Et demain on fait toutes grève de la faim avec les prisonnières palestiniennes ».

D’ores et déjà, les mesures draconiennes prises le gouvernement et les services secrets israéliens pour empêcher le millier de volontaires de rejoindre la Palestine (seule une demi-douzaine ont réussi à gagner Bethléem, à notre connaissance) s’est transformé en désastre diplomatique et politique pour Netanyahou et sa clique.

On le doit notamment à l’excès de zèle des services secrets qui, incapables de déterminer avec un minimum de crédibilité en quoi les volontaires auraient été de « dangereux extrémistes posant un problème existentiel à Israël », ont ratissé large, très large, dans la composition de leurs listes noires.

Le Haaretz révèle ainsi que pour des centaines de passagers dont les identités ont été traquées pendant des semaines, le Shin Bet n’a pas été incapable, non seulement d’établir qu’ils représentaient un quelconque « danger » pour Israël, mais même dans certains cas une quelconque activité de militantisme au service de la cause palestinienne !

Le ratissage n’a pas épargné un membre du Conseil d’administration du puissant laboratoire pharmaceutique allemand Merck (Merck Darmstadt) venu en Israël pour signer un accord de recherche scientifique ! Il s’est retrouvé black-listé !

Mieux, un diplomate français et sa femme qui doivent commencer à travailler au consulat français à Jérusalem cet été. Le couple avait l’intention de chercher un appartement à Jérusalem, mais la nuit avant leur départ, ils ont reçu un e-mail de leur compagnie aérienne, Lufthansa, disant que leurs billets ont été annulés parce qu’ils avaient été interdits d’entrer en Israël !

En fait, ce qui est arrivé dimanche avec une passagère d’Air France, débarquée de son vol allant de Nice à Tel Aviv parce qu’elle avait répondu négativement à un questionnaire de la compagnie aérienne lui demandant si elle était « juive » ou « israélienne », donne une assez claire image de la stratégie d’exclusion élaborée par les agences d’espionnage israéliennes. Quand le passager n’est pas « racialement pur », on élimine.

Quitte à s’en prendre à des passagers présentant le « bon profil » : toujours dimanche à Nice, des membres de notre délégation ont été les témoins des mésaventures d’une passagère non membre de la mission interrogée de manière inquisitoriale par le personnel d’Air France. Son crime ? Cette femme, juive de nationalité française, avait tout l’air d’une Arabe, par son patronyme comme par le teint de sa peau, ce qui n’a rien d’étonnant dès lors qu’un grand nombre des Juifs en France sont originaires du monde arabe, Afrique du Nord en particulier. Et quand les employés d’Air France ont cherché à s’abriter derrière les consignes raciales qu’ils avaient reçues d’Israël, la passagère juive indignée a répondu : « Eh bien, maintenant, je n’aime pas ce pays ».

Partout où des passagers, des centaines, ont été refusés d’embarquement, il y a eu des protestations, vigoureuses, à Bruxelles, Genève, Mulhouse, Rome, Paris, Nice, etc… Nous en rendons compte au fur et à mesure sur ces sites http://www.bienvenuepalestine.com et http://www.europalestine.com, ainsi que par nos twitters @touspalestine, @Europalestine1, et sur la page Facebook.

Amis et membres de la mission, restez attentifs à la suite, et à toutes les initiatives qui seront annoncées.

Bienvenue en Palestine : 40 Français emprisonnés en Israël (Vidéos)

avril 16, 2012 in Uncategorized

Une quarantaine de participants français de la mission Bienvenue en Palestine, ainsi qu’une dizaine d’autres internationaux, étaient emprisonnés lundi matin à Givon (près de Tel Aviv), après avoir refusé de se laisser déporter à leur arrivée, n’ayant commis aucune infraction ni délit, bien au contraire.

Selon le pointage que nous avons pu effectuer dans la nuit de dimanche à lundi, il y avait lundi 27 frères et sœurs arrivés à Tel Aviv à bord d’un avion Easyjet en provenance de Genève, et 10 ou 11 autres arrivés à bord d’un avion Air France en provenance de Nice.

Quelques uns ont réussi à ne pas se faire prendre leur portable, et ont ainsi pu donner au monde extérieur (à nous, à des proches restés en France) quelques nouvelles par SMS : le moral est excellent. Ils maintiennent leur droit, élémentaire, de pouvoir se rendre en Palestine occupée et se préparent, si nécessaire, à se déclarer en grève de la faim, d’autant plus que mardi 17 avril est une journée générale de mobilisation des milliers de Palestiniens croupissant dans les geôles du régime de l’apartheid.

Exemple d’un SMS reçu ce lundi matin à 10 h30

« Nous sommes 13 filles de Lyon, 4 Ecossaises, 2 de Nice, 2 de Marseille, 3 de Paris, 1 du Québec, 1 de Corse ; ils ne nous laissent toujours pas le droit d’appeler au téléphone sans nous donner d’explications. On fait toutes grève de la faim tant qu’on peut pas téléphoner. Et demain on fait toutes grève de la faim avec les prisonnières palestiniennes ».

D’ores et déjà, les mesures draconiennes prises le gouvernement et les services secrets israéliens pour empêcher le millier de volontaires de rejoindre la Palestine (seule une demi-douzaine ont réussi à gagner Bethléem, à notre connaissance) s’est transformé en désastre diplomatique et politique pour Netanyahou et sa clique.

On le doit notamment à l’excès de zèle des services secrets qui, incapables de déterminer avec un minimum de crédibilité en quoi les volontaires auraient été de « dangereux extrémistes posant un problème existentiel à Israël », ont ratissé large, très large, dans la composition de leurs listes noires.

Le Haaretz révèle ainsi que pour des centaines de passagers dont les identités ont été traquées pendant des semaines, le Shin Bet n’a pas été incapable, non seulement d’établir qu’ils représentaient un quelconque « danger » pour Israël, mais même dans certains cas une quelconque activité de militantisme au service de la cause palestinienne !

Le ratissage n’a pas épargné un membre du Conseil d’administration du puissant laboratoire pharmaceutique allemand Merck (Merck Darmstadt) venu en Israël pour signer un accord de recherche scientifique ! Il s’est retrouvé black-listé !

Mieux, un diplomate français et sa femme qui doivent commencer à travailler au consulat français à Jérusalem cet été. Le couple avait l’intention de chercher un appartement à Jérusalem, mais la nuit avant leur départ, ils ont reçu un e-mail de leur compagnie aérienne, Lufthansa, disant que leurs billets ont été annulés parce qu’ils avaient été interdits d’entrer en Israël !

En fait, ce qui est arrivé dimanche avec une passagère d’Air France, débarquée de son vol allant de Nice à Tel Aviv parce qu’elle avait répondu négativement à un questionnaire de la compagnie aérienne lui demandant si elle était « juive » ou « israélienne », donne une assez claire image de la stratégie d’exclusion élaborée par les agences d’espionnage israéliennes. Quand le passager n’est pas « racialement pur », on élimine.

Quitte à s’en prendre à des passagers présentant le « bon profil » : toujours dimanche à Nice, des membres de notre délégation ont été les témoins des mésaventures d’une passagère non membre de la mission interrogée de manière inquisitoriale par le personnel d’Air France. Son crime ? Cette femme, juive de nationalité française, avait tout l’air d’une Arabe, par son patronyme comme par le teint de sa peau, ce qui n’a rien d’étonnant dès lors qu’un grand nombre des Juifs en France sont originaires du monde arabe, Afrique du Nord en particulier. Et quand les employés d’Air France ont cherché à s’abriter derrière les consignes raciales qu’ils avaient reçues d’Israël, la passagère juive indignée a répondu : « Eh bien, maintenant, je n’aime pas ce pays ».

Partout où des passagers, des centaines, ont été refusés d’embarquement, il y a eu des protestations, vigoureuses, à Bruxelles, Genève, Mulhouse, Rome, Paris, Nice, etc… Nous en rendons compte au fur et à mesure sur ces sites http://www.bienvenuepalestine.com et http://www.europalestine.com, ainsi que par nos twitters @touspalestine, @Europalestine1, et sur la page Facebook.

Amis et membres de la mission, restez attentifs à la suite, et à toutes les initiatives qui seront annoncées.

Bienvenue en Palestine : 40 Français emprisonnés en Israël (Vidéos)

avril 16, 2012 in Uncategorized

Une quarantaine de participants français de la mission Bienvenue en Palestine, ainsi qu’une dizaine d’autres internationaux, étaient emprisonnés lundi matin à Givon (près de Tel Aviv), après avoir refusé de se laisser déporter à leur arrivée, n’ayant commis aucune infraction ni délit, bien au contraire.

Selon le pointage que nous avons pu effectuer dans la nuit de dimanche à lundi, il y avait lundi 27 frères et sœurs arrivés à Tel Aviv à bord d’un avion Easyjet en provenance de Genève, et 10 ou 11 autres arrivés à bord d’un avion Air France en provenance de Nice.

Quelques uns ont réussi à ne pas se faire prendre leur portable, et ont ainsi pu donner au monde extérieur (à nous, à des proches restés en France) quelques nouvelles par SMS : le moral est excellent. Ils maintiennent leur droit, élémentaire, de pouvoir se rendre en Palestine occupée et se préparent, si nécessaire, à se déclarer en grève de la faim, d’autant plus que mardi 17 avril est une journée générale de mobilisation des milliers de Palestiniens croupissant dans les geôles du régime de l’apartheid.

Exemple d’un SMS reçu ce lundi matin à 10 h30

« Nous sommes 13 filles de Lyon, 4 Ecossaises, 2 de Nice, 2 de Marseille, 3 de Paris, 1 du Québec, 1 de Corse ; ils ne nous laissent toujours pas le droit d’appeler au téléphone sans nous donner d’explications. On fait toutes grève de la faim tant qu’on peut pas téléphoner. Et demain on fait toutes grève de la faim avec les prisonnières palestiniennes ».

D’ores et déjà, les mesures draconiennes prises le gouvernement et les services secrets israéliens pour empêcher le millier de volontaires de rejoindre la Palestine (seule une demi-douzaine ont réussi à gagner Bethléem, à notre connaissance) s’est transformé en désastre diplomatique et politique pour Netanyahou et sa clique.

On le doit notamment à l’excès de zèle des services secrets qui, incapables de déterminer avec un minimum de crédibilité en quoi les volontaires auraient été de « dangereux extrémistes posant un problème existentiel à Israël », ont ratissé large, très large, dans la composition de leurs listes noires.

Le Haaretz révèle ainsi que pour des centaines de passagers dont les identités ont été traquées pendant des semaines, le Shin Bet n’a pas été incapable, non seulement d’établir qu’ils représentaient un quelconque « danger » pour Israël, mais même dans certains cas une quelconque activité de militantisme au service de la cause palestinienne !

Le ratissage n’a pas épargné un membre du Conseil d’administration du puissant laboratoire pharmaceutique allemand Merck (Merck Darmstadt) venu en Israël pour signer un accord de recherche scientifique ! Il s’est retrouvé black-listé !

Mieux, un diplomate français et sa femme qui doivent commencer à travailler au consulat français à Jérusalem cet été. Le couple avait l’intention de chercher un appartement à Jérusalem, mais la nuit avant leur départ, ils ont reçu un e-mail de leur compagnie aérienne, Lufthansa, disant que leurs billets ont été annulés parce qu’ils avaient été interdits d’entrer en Israël !

En fait, ce qui est arrivé dimanche avec une passagère d’Air France, débarquée de son vol allant de Nice à Tel Aviv parce qu’elle avait répondu négativement à un questionnaire de la compagnie aérienne lui demandant si elle était « juive » ou « israélienne », donne une assez claire image de la stratégie d’exclusion élaborée par les agences d’espionnage israéliennes. Quand le passager n’est pas « racialement pur », on élimine.

Quitte à s’en prendre à des passagers présentant le « bon profil » : toujours dimanche à Nice, des membres de notre délégation ont été les témoins des mésaventures d’une passagère non membre de la mission interrogée de manière inquisitoriale par le personnel d’Air France. Son crime ? Cette femme, juive de nationalité française, avait tout l’air d’une Arabe, par son patronyme comme par le teint de sa peau, ce qui n’a rien d’étonnant dès lors qu’un grand nombre des Juifs en France sont originaires du monde arabe, Afrique du Nord en particulier. Et quand les employés d’Air France ont cherché à s’abriter derrière les consignes raciales qu’ils avaient reçues d’Israël, la passagère juive indignée a répondu : « Eh bien, maintenant, je n’aime pas ce pays ».

Partout où des passagers, des centaines, ont été refusés d’embarquement, il y a eu des protestations, vigoureuses, à Bruxelles, Genève, Mulhouse, Rome, Paris, Nice, etc… Nous en rendons compte au fur et à mesure sur ces sites http://www.bienvenuepalestine.com et http://www.europalestine.com, ainsi que par nos twitters @touspalestine, @Europalestine1, et sur la page Facebook.

Amis et membres de la mission, restez attentifs à la suite, et à toutes les initiatives qui seront annoncées.

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