Entre ce père et son fils, le spectre cruel, terrifiant, de la mort qui menace. Et chez l'un et l'autre domine le sentiment que malgré tout, malgré les cris de détresse et les appels pressants, ils sont abandonnés à leur triste sort.
Fakher Trigui, professeur 1er Grade d'éducation physique, ancien footballeur, aujourd'hui entraîneur de l'équipe nationale Espoirs, se bat depuis 2006 dans la dignité pour sauver son fils condamné à mort en Irak.
L'avocat irakien chargé de soumettre au ministère de la justice de son pays la demande d'arrêt d'exécution ne répond plus. Il semble que cette demande n'a pas été faite. Et Fakher Trigui a perdu toute trace pour retrouver cet avocat.
Devons-nous pour autant baisser les bras? Faut-il accepter cet état de fait désespérant et nous contenter de prier ou de hausser les épaules?
Que pouvons-nous faire encore pour espérer gommer de cette photo le funeste signe de la barbarie et restituer au père, à la mère, aux frangins, sain et sauf Yosri?
Écrire..ne jamais nous arrêter d'écrire. Faxer des appels à celles et ceux qui pourraient encore intervenir et mettre leur poids dans cette bataille.
Aux présidents, premiers ministres et ministres des affaires étrangères de la Tunisie et de l'Irak.
Aux chefs des partis politiques tunisiens et irakiens, toutes couleurs confondues.
Aux ONG, aux intellectuels, magistrats, avocats et militants abolitionnistes de par le monde...
Merci de vous joindre à nous pour tendre la main à ce père et son fils.
http://amriahmed.blogspot.
http://amriahmed.blogspot.Fakher Trigui, professeur 1er Grade d'éducation physique, ancien footballeur, aujourd'hui entraîneur de l'équipe nationale Espoirs, se bat depuis 2006 dans la dignité pour sauver son fils condamné à mort en Irak.
L'avocat irakien chargé de soumettre au ministère de la justice de son pays la demande d'arrêt d'exécution ne répond plus. Il semble que cette demande n'a pas été faite. Et Fakher Trigui a perdu toute trace pour retrouver cet avocat.
Devons-nous pour autant baisser les bras? Faut-il accepter cet état de fait désespérant et nous contenter de prier ou de hausser les épaules?
Que pouvons-nous faire encore pour espérer gommer de cette photo le funeste signe de la barbarie et restituer au père, à la mère, aux frangins, sain et sauf Yosri?
Écrire..ne jamais nous arrêter d'écrire. Faxer des appels à celles et ceux qui pourraient encore intervenir et mettre leur poids dans cette bataille.
Aux présidents, premiers ministres et ministres des affaires étrangères de la Tunisie et de l'Irak.
Aux chefs des partis politiques tunisiens et irakiens, toutes couleurs confondues.
Aux ONG, aux intellectuels, magistrats, avocats et militants abolitionnistes de par le monde...
Merci de vous joindre à nous pour tendre la main à ce père et son fils.
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