«Comment peut-on expliquer qu’un pays qui ne met pas en œuvre les résolutions du Conseil de sécurité puisse être autorisé à entrer par les portes du siège de l'ONU», dénonce le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan. Fustigeant avec virulence les agissements de l’entité sioniste avant l’arrivée du secrétaire générale de l’ONU, Ban Ki-Moon, il a aussi appelé au retrait pur et simple d’Israël sur la liste des membres de l’Organisation.
Erdogan a accusé Israël d'attaquer les civils sous le prétexte de cibler les groupes militants islamiques du Hamas.Ses remarques reflètent de plus en plus la colère d’une Turquie, pourtant ami d’Israël. Gaza a pris le dessus…
De son côté, le pésident Abdullah Gul, a réitéré ses appels ce vendredi, à un cessez-le-feu immédiat exhortant le président américain élu, Barack Obama à se concentrer sur une approche globale, durable et équitable de la région, une fois en poste. Cette entité de la barbarie qui ne tient pas compte de la demande express d’arrêter les raids risque aussi de perdre tous ses contrats en cours avec la Turquie qui pourrait aussi suspendre toutes négociations à venir.
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