La revue The Lancet accuse :
Israël commet des atrocités aveugles
14/01/2009
14/01/2009
La revue médicale britannique The Lancet, l'une des plus respectées dans le monde, accuse les forces israéliennes d'"atrocités" dans la bande de Gaza .
Dans un éditorial rendu public mercredi, la revue souligne "le fardeau injustifiable" que font peser sur les populations civiles les opérations israéliennes, affirmant que "les normes internationales du comportement humanitaire en situation de conflit ont été foulées au pied".
"Nous avons du mal à croire qu'une nation démocratique par ailleurs respectée internationalement peut autoriser des atrocités humaines aveugles de cette ampleur dans un territoire déjà soumis à un blocus terrestre et maritime", écrit le Lancet.
Jugeant "non justifiées et disproportionnées les énormes pertes en vies humaines et la destruction du système de santé de Gaza", la revue accuse les forces israéliennes de "contrevenir à la quatrième convention de Genève".
"Nous sommes déçus par le silence des associations et organisations médicales nationales dans le monde entier devant la destruction et la dislocation des services de santé", indique la revue, estimant que leurs leaders, "à travers leur inaction, sont complices d'une tragédie que l'on pouvait éviter".
Dans un éditorial rendu public mercredi, la revue souligne "le fardeau injustifiable" que font peser sur les populations civiles les opérations israéliennes, affirmant que "les normes internationales du comportement humanitaire en situation de conflit ont été foulées au pied".
"Nous avons du mal à croire qu'une nation démocratique par ailleurs respectée internationalement peut autoriser des atrocités humaines aveugles de cette ampleur dans un territoire déjà soumis à un blocus terrestre et maritime", écrit le Lancet.
Jugeant "non justifiées et disproportionnées les énormes pertes en vies humaines et la destruction du système de santé de Gaza", la revue accuse les forces israéliennes de "contrevenir à la quatrième convention de Genève".
"Nous sommes déçus par le silence des associations et organisations médicales nationales dans le monde entier devant la destruction et la dislocation des services de santé", indique la revue, estimant que leurs leaders, "à travers leur inaction, sont complices d'une tragédie que l'on pouvait éviter".
(manar website)
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