IL FAHEM....
Par
Biju
Tunisie : quatre ans de prison ferme pour le journaliste Fahem Boukadous, les mauves sont vraiment en dessous de tout mépris, les quatre ans pour ces criminels sont justes un chiffre guillotine dans le système de l'horreur, pour un tunisien normal comme FAHEM, c'est une sorte de mise à mort, quatre ans dans l'antichambre d'une mort annoncée, pas une mort subite, mais une longue agonie, le dictateur Zinétron croit donc devenir immortel en empilant les cadavres, oui avec le temps et l'évolution de sa folie, beaucoup de tunisiens viendront à penser, que pour se libérer, ils doivent s'abaisser à son niveau et répondre à la terreur par la terreur, je pense, et la lâcheté des courtisanes mauves prouve cela à toutes les instants de notre vie, qu'il faut se battre et s'organiser contre la Torture, les cas pathologiques de crime contre l'humanité, doivent nous réveiller, et exploser les limités de nos sectarismes idéologiques. S'organiser contre la torture, qu'elle soit physique ou morale ou matérielle, qu'importe, en TUNISIE tout est affaire de violences; le jour où toutes les petites mains mauves des prostituées qui travaillent le canevas de l'ordure de Carthage seront emmurées, décimées dans son asile psychiatrique pour de bon, nous pérenniserons leur solitude et leur isolement. Zinétron est un lâche qui ne comprend que les coups de pompes au derche, travaillons dur sans déviances claniques à défoncer sa squelette de pieuvre, à injecter une trouille bleue et même sanglante dans ses tentacules, le jour où ses larbins, ses prostituées mauves comprendront que de prédateurs et de charognards, ils sont devenus partout dans le monde vivant, celui du progrès et de l'humain, de vulgaires proies à la merci de la justice , le jour où ses sicaires, les tueurs et tortionnaires de sa guilde de l'horreur craindraient pour leurs vies et leur liberté, que ce soit en TUNISIE, ou partout dans l'univers, même sur la lune, ce jour là, la terreur et la peur, le rapport de force changeront de camp.Il faut comprendre une bonne fois pour toute que , le terrorisme d'état est une structure lâche et fragile, il repose sur l'immunité des criminels qui sont à son service, enlevez leur cela selon la loi du talion, et la machine répressive est détraquée dans le bon sens. Le jour où aucun des larbins de BEN ALI et ses proches n'auront plus une vie normale que ce soit en TUNISIE ou partout ailleurs dans le monde, la plus part des mercenaires laisseront tomber le couard en chef, il sait bien que la plus part de ses partisans sont de vulgaires prostituées qu'il paient au prorata de leur ignominie.
Fahem Boukadous, est le correspondant de la chaîne satellitaire Al-hiwar Ettounsi , le dialogue tunisien, a été condamné en son absence, et pour cause, il était hospitalisé, de toutes les façons sa présence n'aurait servi à rien, comme pour tous les autres procès kafkaïen des opposants tunisiens, les accusés, comme les juges, les procureurs, les avocats, les jurés, les huissiers, les chaouchs, les flics, les gardiens, les faux journalistes, les larbins ne sont que des potiches dans ce sinistre décor, malgré eux pour les défenseurs des droits de l'homme, par servilité et lâcheté pour le reste, personne ne sert à rien dans les mises en scène de la dictature, tous les cas sont pliés d'avance entre Zinétron et sa coiffeuse au maximum et ses aboyeurs qui lui cirent les pompes, le jugement prononcé contre FAHEM est l'œuvre du dictateur, les juges, surtout, qui avaient "prononcé ce jugement" ne servent à rien, ils font partie du décor de péplum à deux balles, triste et morose, vomitif de mensonge et d'arbitraire, ces juges sans honneurs, ne font que lire et annoncer des jugements qui ne leur appartiennent pas, pire que le dictateur , ils sont des traîtres et des renégats, des parjures criminels qui lui servent d'alibi et de feuilles de vigne, ils sont un rouage essentiel de l'arsenal répressif, le jour aussi où ces truands , ces flics, ces fonctionnaires de la dictature vivront dans la peur de leur impunité, les choses seront différentes, à tous les échelles de la pyramide répressive, les petites mains de la dictature, comme elles, doivent assumer et payer pour tous les crimes quelques soient leur intensité, tous les crimes que subissent les tunisiens, en TUNISIE ou partout ailleurs dans le monde, nous , démocrates, devons établir une stratégie de représailles, et leur pourrir vraiment la vie, comme ils ne cessent de pourrir la nôtre depuis "l'indépendance", il n'est pas normal qu'un mauve, un tortionnaire, un juge renégat puissent vivre une vie normale en TUNISIE, qu'il puissent jouir de vacances normales, partir normalement en voyage, aller normalement chez le coiffeur,au hammam, aux chiottes, à la mosquée, au spectacle et même crever normalement, il faut que dans la bouche, ces lâches, puissent avoir le goût de leur viscères et de la terreur qu'ils diffusent par procuration, au nom de leur dictature des traîtres à la TUNISIE et non du peuple tunisien; dont ils sont les garde chiourmes, les matons et les tueurs.
Le tribunal, le boxons , le lupanar d'appel de Gafsa (sud tunisien sous contrôle) a confirmé le verdict de première instance pour "appartenance à une association criminelle susceptible de porter atteinte aux personnes et à leurs biens" et pour "diffusion d'information de nature à troubler l'ordre public". FAHEM , l'homme de plume, le témoin profane de son pays est transformé en un hideux terroriste par des maffieux et des criminels, et d'après eux, il doit s'estimer heureux de n'avoir récolté que quatre ans, dans leur logique de fascistes, il fallait lui coller une balle dans la tête, comme certains manifestants du bassin minier, pour écraser par la violence tout élément contestataire..
"Ce verdict a été prononcé dans des conditions anormales, puisque mon client est toujours hospitalisé et risque à tout moment d'être emprisonné", a indiqué à l'AFP, son avocat Mohamed Abbou.
Putain de leur cirque, momo, tu es tellement dans la bouche de cette bête immonde mauve, qu'on croirait une voix d'outre tombe, une voix intègre, de courage et de bonté, toi qui sait de quoi cette barbarie mauve est capable, merci d'être un acteur de ta propre vie et non un frigide spectateur, mais toi comme moi, on sait qu'on est arrivé à un point de non retour, et comment toute cette saloperie absurde que des moins que rien nous imposent et imposent à notre pays, va finir par emporter de nombreux tunisiens dans ses bas-fond.
Fahem Boukadous a déclaré qu'il s'attendait à être arrêté d'une minute à l'autre" faisant assumer aux autorités tunisiennes une dégradation de son état de santé.
"Mon transfert en prison veut dire ma mort", a ajouté le journaliste, hospitalisé depuis le 3 juillet dernier à Sousse au centre de Tunis pour insuffisance respiratoire et infection dans les poumons, selon lui.
Pour ses avocats et des ONG, Fahem Boukadous, a été condamné pour avoir couvert les manifestations populaires du bassin minier de Gafsa en proie en 2008 à l'agitation sur fond de chômage, cherté de la vie, corruption et clientélisme, le quotidien des tunisiens, ni plus ni moins, à nous tous qui refusons cette barbarie, de choisir quoi faire, et il faut faire vite, le temps travaille contre nous. Des FAHEM existent par milliers en TUNISIE, sa situation est dramatique, et notre drame d'un point de vue politique, c'est que nous, les démocrates, nous devons apprendre à vivre ensemble, à ambitionner pour notre pays des projets collectifs respectueux des différences et arrêter, par suffisance, de lâcher la proie pour l'ombre.
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