2 des 3 victimes assassinées à Damas sont chrétienne et sunnite !

Russie et la Chine a opposé son veto pour la troisième fois le Conseil de sécurité la résolution sur la Syrie Moyen Orient | ONU | Syrie L'ambassadeur syrien à l'ONU, Bachar Jaafari, lors du vote du Conseil de sécurité. EFE Au moins 70 morts en Syrie par la répression du régime Souffler au cercle du président affaiblit le régime syrien Ban Ki-moon condamne l'attentat de Damas Laissés dans l'air l'avenir d'observateurs internationaux dans le pays L'organe suprême de décision de l'ONU, présidé par la Colombie en Juillet, a été incapable de parvenir à un consensus pour essayer d'endiguer l'escalade de la violence en Syrie NEW YORK, ETATS-UNIS (19/JUL/2012.) - la Russie et la Chine d'aujourd'hui pour la troisième fois exercé son droit de veto au Conseil de sécurité d'arrêter une résolution de l'ONU sur la Syrie, de voter contre un projet de résolution menaces occidentales d'imposer des sanctions sur le régime du président Bachar al Assad. La plus haute instance de décisions de l'ONU, présidé par la Colombie en Juillet, n'a donc pas pu parvenir à un consensus pour essayer d'endiguer l'escalade de la violence en Syrie à Moscou et Pékin ont voté contre le Pakistan et l'Afrique du Sud se sont abstenus et les onze autres étaient en faveur. pays ont exercé leur droit de vote en faveur des États-Unis étaient, en France, au Royaume-Uni, Allemagne, Portugal, Colombie, Guatemala, Inde, en Azerbaïdjan et au Togo, et le Maroc, le représentant dans le Conseil de sécurité du groupe arabe à l'Organisation des Nations Unies. "Je suis très, très triste. Qu'est-ce qui se passe dans la Syrie se répand. Il y avait trois morts et avait droit de veto, veto sept mille, et maintenant 17 000 et un nouveau veto. devrait être demandé lorsque ces pays ont accepté de déménagement », a déclaré l'ambassadeur français à l'ONU, Gérard Araud, qui a accusé la Russie de« vouloir gagner du temps pour le régime d'Assad pour écraser le opposition. " Le diplomate français a eu des mots durs pour Moscou et Pékin, qui ont également été repris par d'autres diplomates occidentaux et a déclaré que dans l'exercice de droit de veto à nouveau, deux gouvernements "redonner à l'approche adoptée dans les derniers mois patiemment "par l'envoyé spécial de l'ONU, Kofi Annan. Le projet de résolution a été votée présenté la semaine dernière par le Royaume-Uni, l'Union européenne, la France, l'Allemagne et le Portugal avec l'idée d'augmenter la pression sur le régime de Damas par la menace de sanctions diplomatique et économique, quelque chose de la Russie s'oppose fermement. Le texte, qui a également fourni le mandat de la Mission de surveillance de l'ONU en Syrie (Assurance mutuelle) pour 45 jours, menacé de sanctions en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies si le régime ne se réplique pas dans les dix jours ses troupes des centres urbains et cesser d'utiliser des armes lourdes. "Il est regrettable que ce Conseil a été incapable de remplir le rôle pour lequel il a été établi et a la devoir de respecter, "a-t-il déclaré après le vote, l'ambassadeur britannique à l'ONU, Mark Lyall Grant, qui a défini" consterné "et a accusé la Russie et la Chine à« mettre les intérêts nationaux avant les vies de millions de Syriens. " L'ambassadeur britannique a également déclaré que les autorités russes et chinois "n'ont pas réussi à fournir le soutien qu'ils ont appelé" Annan, secrétaire général Ban Ki-moon, qui ont appelé à plusieurs reprises pour une action commune au Conseil de sécurité la Syrie pour juguler la crise. Le double veto, le jeudi, ce qui laisse ouverte l'avenir d'observateurs internationaux en Syrie, en plus de celles déjà exercées par la Russie et la Chine dans le passé Octobre et Février, quand il a également arrêté des initiatives pays européens et aux États-Unis à faire pression sur le régime dictatorial de Damas.